DÉRIVE | Poèmes de Marie-Thérèse d'Arcangues (2020)
Après Dora Maar, Céline Pujol s’intéresse à Marie-Thérèse d’Arcangues, dont l’œuvre poétique, celle d’une vie, vient d’être publiée pour la toute première fois, à Arles, et révèle une femme libre qui, dans ses précipités de mots comme dans sa vie atypique, a su faire fi des jugements et autres carcans.
Lecture des poèmes écrits par Marie-Thérèse d'Arcangues
Réalisation Céline Pujol
Image Armand Arnal
Editions Portaparole
Performance Slow Show | LUMA Arles (2019)
"Le Slow Show, c'est comment un projet réunit une communauté éphémère. On explore les personnalités de chacun, les différences physiques, différences de culture, les rêves de chacun, les fantasmes de chacun, les cauchemars, les anxiétés. Ce qui les réunit c'est la lenteur, c'est le temps. Dans ce spectacle, ils sont tous occupés à résister au temps, à étirer le temps et c'est ce qui fait que finalement ils sont ensemble. C'est en mouvement mais avec un temps qui est tellement étiré qu'on ne le voit pas. Pour atteindre cette lenteur-là c'est presque de la violence... c'est beaucoup de conflits intérieurs, beaucoup de résistance, beaucoup de muscles." - Dimitri Chamblas, danseur et chorégraphe.
Une programmation éclectique qui aiguise les sens. Un lieu unique.
La Galerie Vaste Horizon présente une Performance filmée et dansée réalisée par Céline Pujol au Collatéral
Duo Danse Elvina Pascal et Rafael Pardillo
Court-métrage Le Souffle de la Nuit
Suivi d'un dîner orchestré par le chef Armand Arnal
Festival Eté Indien(s) Arles 2019
Un évènement produit par la Collection Vaste Horizon
mis en images par Renata Pires
DORA MAAR | Galerie Vaste Horizon (2019)
Performance de danse inspirée par des poèmes écrits par Dora Maar, réalisée en collaboration avec la Galerie Vaste Horizon à Arles.
La comédienne et réalisatrice Céline Pujol a été touchée par la force des textes jamais récités de Dora Maar. Témoins d'une vie singulière, solitaire, brute et souveraine, ils ont été réunis en menant l'enquête auprès des institutions et des collectionneurs.
Elle a posé sa voix sur les textes et imaginé une danse avec la chorégraphe Elvina Pascal, lauréate du premier prix du conservatoire supérieur de Paris, elle-même inspirée des poses aperçues dans les photographies et les portraits de Dora Maar. Conscientes qu'elles tenaient là une œuvre sensible et magnifique, cette danse a été filmée par Nathanael Carton et Thomas Burgess, et montée par Nicolas Simon.
Facing Landscape | Festival Danse Élargie (2012)
Dispositif-performance réalisée lors du concours Danse Élargie_2ème édition 16 et 17 juin 2012_ Théâtre de la Ville, Paris.
Organisé par le musée de la danse à Rennes et le Théâtre de la Ville à Paris.
En partenariat avec la Fondation d'entreprise Hermès et avec le soutien de la SACD.
Chorégraphie Claire Soubrier
Pièce "Il Corpo del Teatro"
Une expérience théâtrale menant à révéler l'intime processus d'incarnation du personnage.
Un monologue intérieur, une vibration, une mise en lumière des étranges et subtiles mouvements de l'âme, révélant les émotions profondes.
Ecrit et mis en scène par Paola Greco
Festival d'Avignon 2012 - Théâtre Alizé
Performance "In Between"
Création 2013
Le silence engage un autre dialogue, celui qui ramène à l'intériorité.
L'écoute de soi, de ses besoins, des sens.
On devient alors plus attentif aux regards et à la respiration.
Exprimer devient un besoin élémentaire et essentiel.
La pensée volatile se libère. Le corps s'anime, la pensée mouvante, une émotion peut surgir.
Tout agit, tout s'agite dans le calme de notre conscience.
Nous tentons alors une expérience irrationnelle et instinctive. On fait notre propre histoire dans le vide. Enfermés dans notre propre subjectivité. Sans fil narratif, le propos se fait par la chair, non par la parole. On donne de la chair aux personnages, de la sincérité, de la vérité. Le perte de perception nous invite à en retrouver, d'autres plus organiques. Un monde sans paroles permet la véritable existence de ce que nous sommes, notre essence. Les mots ne sont pas égaux aux actes qu'ils décrivent. Le langage montre mais n'exprime pas l'entière entité de l'homme et forme en lui une limite.
"Ne plus vouloir c'est être libre" Schopenhauer